October 12, 2012

We are back de retour...

Ca y est nous sommes de retour au pays... en fait, ça fait une bonne semaine mais, bon, décalage horaire, défaire les valises, glande, tout ça... et le temps de nous réacclimater du soleil Californien. Nous nous étions dit que nous pourrions faire un petit journal de notre périple entre San Francisco et Los Angeles mais je ne sais pas si on va avoir le courage d'aller jusqu'au bout. En tout cas, voici plus bas un petit début.

Mais tout d'abord, nous devons tout spécialement remercier (par ordre d'apparition) Jason et Chicky de La Fin Absolute du Monde, Kevin Thomson et Joe Goldring d'Enablers, Stephen Wilson de SWilson, ainsi que Melissa et Michelle pour leur hospitalité et le travail d'organisation de concerts.

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That is it, we are back in Brussels... well, it's been more than a week now but, you know, jetlag, unpacking, general laziness and the necessary time getting used again to our local drizzling rain... So, we will try to put the diary of our little Californian tour here but I'm not sure that we really will have the courage to sort it and get through it. Anyway, let's have a start at it hereunder (sorry, just in French).

But first, we would like to thank (by order of appearance) Jason and Chicky of La Fin Absolute du Monde, Kevin Thomson and Joe Goldring of Enablers, Stephen Wilson of SWilson, and Melissa and Michelle for their general hospitality and all the work put in organising shows. We miss you already!

In Oakland...
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California Diaries:
Voyager c'est déjà l'aventure (par Raphaël)

En tout cas, je connaissais bien le nom et l'adresse de notre hôtel à San Francisco vu que, entre l'aéroport de Zaventem et notre arrivée, divers douaniers, agents de sécurité et autres personnes en uniformes plus ou moins identifiés me l'ont demandé au moins cinq fois... en plus de m'avoir demandé ce que je venais faire là-bas et fait passer dans 4 détecteurs de métaux (« Enlevez vos chaussures, merci »), scanné dans un gros appareil tournoyant (« Rien dans les poches ? les bras en l'air SVP ? »), fouillé (« Attendez ici, un homme va venir »), pris mes empreintes digitales (« Maintenant le pouce gauche... »), photographier (mais juste de face) et même fait frotter les mains avec une sorte de petit chiffon qui est ensuite passé dans un spectrographe... sans doute pour voir si je m'étais bien lavé les mains après être sorti des toilettes (?). J'ai remarqué qu'il s'agissait d'un traitement spécial qui n'était pas appliqué à tous les passagers. C'est un peu vexant que l'on doute ainsi de mon hygiène personnelle !

Tout ça m'a finalement rappelé ceci (vers 4:57) :




Ah oui, au retour, j'ai aussi trouvé ce petit papier dans ma valise :